Illustration de Nathalie Novi
Ce drame qui a bouleversé ma vie est toujours en moi.
Parfois, ce souvenir douloureux m’envahit et c’est comme un coup de poignard ; d’autres fois, c’est comme des lueurs mortes qui m’embrument l’esprit.
J’en ai tellement pleuré que mes yeux sont secs, mon corps est vide de larmes.
Quel dommage ! Les larmes c’est chaud, ça réconforte.
Une nouvelle de Linda Baaziz (15 ans) dédiée par son
http://thierrylenain.free.fr/blog/linda.pdf
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