Piranhas Sexistes
Après la vague bleue, la vague rose ...
Ce dessin d'Emelire en préambule...
Certes, ce sont toujours les mêmes poissons ...que la soif du pouvoir adjointe à la misogynie ambiante poussent à exprimer leurs hypocrites argurties politiciennes!
Il ne s'agit que de faire obstacle à la candidature de Ségolène Royal et de rendre "présidentiable" DSK, rien de moins!
Ce soit disant "reconstructeur" jette son pavé dans la marre...celle des Piranhas Sexistes, si, si, c'est la nouvelle appellation du Parti Socialiste!
Fort heureusement, il est d'autres discours, d'autres arguments qui soutiennent au sein du PS une position diamétralement opposée car remporter les élections en 2012, c'est une échéance qui doit se préparer dès à présent comme le souligne Jean-Michel Normand du NPS (Nouveau Parti Socialiste).
Qu'elles sont-elles les marges de manoeuvres des maires dans l'opposition pour rendre la vie de chacun de leurs concitoyens plus respectueuse de leurs droits ?
Qu'elle sera leur autonomie à faire progresser la justice sociale baignée dans les eaux glacées d'un capitalisme arrogant, n'ayant de cesse de démanteler les acquis sociaux âprement obtenus, du droit à l'éducation à celui de la santé et du travail ?..
Aussi,oui, importe-t-il que le parti socialiste se rassemble autour de la candidature fédératrice de Ségolène Royal, l'intégrité des valeurs qui l'anime est le blason de sa future élection, n'en déplaise aux misogynes sectaires, (c'est un pléonasme!), n'en déplaise à leurs manigances de boutiquiers!
...Soit un nouvel Epinay!
sémaphore
Le Congrès d'Épinay est le nom courant donné, depuis 1971 au "Congrès d'unification des socialistes", qui a eu lieu du 11 au 13 juin 1971 au gymnase Léo Lagrange de la ville d'Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis). Ce congrès légendaire voit habilement François Mitterrand, nouvel adhérent du mouvement, en devenir premier secrétaire sur ligne d'union de la gauche et candidat naturel à la prochaine élection présidentielle.
(source wikipedia)
Le parti socialiste a besoin d'un leadership fort
Découvrez les réponses de Vincent Peillon interrogé par le journaliste Jean-Michel Normand dans Le Monde daté du mercredi 23 janvier 2008.
source : Nouveau parti socialistehttp://nouveau-ps.teikhos.fr/delia-CMS/presse/zoom/article_id-1277/topic_id-99/le-parti-socialiste-a-besoin-d-un-leadership-fort.html
Partisan de Ségolène Royal, comment pensez-vous que le Parti socialiste doive aborder la question de son leadership ?
Se développe l'étrange thèse selon laquelle il ne faudrait surtout pas installer à la tête du PS un leader ayant une relation forte avec les Français ! C'est la thèse la plus dangereuse que l'on a jamais inventée. Si la gauche ne veut pas renoncer à exercer à nouveau un jour le pouvoir national, elle doit au contraire se préoccuper de se mettre en ordre de bataille pour 2012. Tout le monde semble maintenant convenir que nous avons besoin d'un nouvel Epinay. Qui peut penser que cela pourra se faire un an avant l'échéance électorale ?
Et peut-on croire sincèrement qu'on pourra trancher les débats qui doivent l'être, faire respecter la discipline nécessaire, conduire les réformes d'organisation, préparer un projet, mettre en oeuvre une stratégie de rassemblement et s'opposer efficacement sans un leadership fort ? Construire ensemble un nouvel âge du socialisme sera la condition de nos victoires futures. Après cinq années de Sarkozy, le pays en aura bien besoin.
Quel sera le contenu de la "nouvelle offre politique" que propose Ségolène Royal ?
Nicolas Sarkozy est lui-même le symptôme d'une crise, son exaspération. C'est la queue de comète d'une Ve République épuisée dont il accentue tous les travers. C'est donc à la gauche et singulièrement aux socialistes qu'il appartiendra de résoudre cette crise qui touche non seulement notre modèle social mais aussi notre modèle économique.
Il faut à la fois en finir avec la préférence française pour les inégalités et avec nos faiblesses économiques. Comme aux moments clés de notre histoire, aux débuts de la IIIe République avec les premières lois sociales, après la seconde guerre mondiale avec le Conseil national de la Résistance, il faut poser des actes forts et fondateurs : investir dans la formation, la recherche, dans notre jeunesse, opérer une révolution fiscale, libérer les énergies, favoriser les PME, les services, l'économie solidaire, réformer les instruments de l'action publique, redéfinir la négociation sociale, les droits sociaux. Définir un New Deal à la française. C'est le sens plein qu'il faut donner à la VIe République.
Pour l'instant, on voit mal les contours de votre future majorité au sein du PS.
C'est plutôt bon signe ! Car cela signifie peut-être que cette majorité ne résultera plus de l'addition statique de petits bouts de courants, éternel réarrangement du passé qui immobilise le parti, mais sera le produit d'une dynamique nouvelle enfin tournée vers l'avenir et vers les Français.
Propos recueillis par Jean-Michel Normand
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